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il y a 4 ans
J’avais beaucoup entendu parler d’un endroit particulier dans Paris ou plutôt sous Paris : les catacombes…Mon ex était ce qu’on appelle un cataphile confirmé et m’en avait parlé de longues heures. Je décidais de me pencher d’avantage sur ce coin inconnu. J’avais recueilli sur le net un bon nombre d’informations sur ces sous terrains et décidai d’y descendre. Avec mon meilleur ami nous avions prévu cette « expédition » dans les moindres détails, lampes, bougies (il n’y a pas de lumière en bas), boisson, de quoi manger, etc…
Nous nous rendîmes à l’endroit indiqué, c’était un lieu assez sombre, calme vu l’heure ; nous avions effectivement décidé d’y descendre un vendredi tard dans la soirée car la descente dans cette partie « non officielle » des catacombes étant interdite, nous devions être discret et choisir un moment où personne ne risquait de nous surprendre…
Nous escaladâmes la barrière qui nous séparait de la voie ferrée le long de laquelle se trouvait la chatière menant aux catacombes. Nous arrivâmes sur la voix ferrée, munis de nos sacs à dos et, nous entrâmes bientôt dans un tunnel. La lumière étant inexistante, nous allumons nos lampes. En marchant nous discutions à voix basse pour ne pas risquer d’être repérés.
Mon meilleur ami semblait tendu, il me confia qu’il avait peur, qu’il n’était pas rassuré, étant moi-même stressé, je ressentais un mélange d’excitation et de peur, je sentais ce cocktail s’enflammer dans mon estomac.
A la fin du tunnel, nous croisâmes deux hommes assis sur les rails, ils commencèrent par dévisager mon meilleur ami, ils paraissaient étonné puis, me regardèrent avec attention, leur yeux examinaient chaque partie de mon corps en s’attardant sur ma poitrine. J’étais à la fois gênée et flattée que des hommes qui avaient facilement 10 ans de plus que moi me regardent avec désir. Je portais un débardeur simple, en coton noir et un vieux jean sans oublier ma vieille paire de baskettes (j’avais lu que pour descendre dans les catacombes il fallait mettre des affaires que nous n’avions pas peur de salir).
En arrivant devant l’entrée je compris vite pourquoi des vieux vêtements étaient conseillés…En effet, l’entrée était constitué d’une sorte de large troue dans le sol, nous devions nous asseoir à terre et nous faufiler pour entrer. Cette vision me fit peur alors je préférai m’asseoir un peu avant de m’engouffrer dedans. Je fumais une cigarette en compagnie de Paul, mon meilleur ami.
Bientôt, une lumière mouvante se fit voir au bout du tunnel, Paul et moi nous nous tûmes pour écouter les bruits qui accompagnaient cette étrange vision. Un groupe d’homme s’approchait de nous à grands pas sans tenter de passer inaperçu. En arrivant à notre hauteur, ils nous éblouirent avec leurs grosses lampes pour voir à qui ils s’adressaient. Puis, ils nous demandèrent s’ils pouvaient s’asseoir avec nous, nous acceptâmes de bon cœur. La discussion s’engagea rapidement sur le ton de la bonne humeur. J’en profitai pour demander d’avantages d’information sur cet endroit mystérieux et ceux qui le fréquentent. J’appris beaucoup de chose notamment que les catacombes sont plutôt fréquentées par des hommes, c’est un milieu plutôt masculin. La discussion allait bon train, la bière tournait et le joins également, je me sentais bien, j’en venais presque à en oublier que nous étions là pour descendre, j’observais le groupe en entendant à peine ce qui se disait, je les observais avec attention, certains étaient plutôt pas mal, un peu angéliques, d’autre dégageaient de la testostérone à haute dose, l’air était emplie d’un parfum masculin qui venait me chatouiller les narines, j’aimais cette ambiance, cette virilité ambiante. Je sentais en moi que cette nuit allait être inoubliable…
La discussion allait bon train, la bière tournait et le joins également, je me sentais bien, j’en venais presque à en oublier que nous étions là pour descendre, j’observais le groupe en entendant à peine ce qui se disait, je les observais avec attention, certains étaient plutôt pas mal, un peu angéliques, d’autre dégageaient de la testostérone à haute dose, l’air était emplie d’un parfum masculin qui venait me chatouiller les narines, j’aimais cette ambiance, cette virilité ambiante. Je sentais en moi que cette nuit allait être inoubliable…
Après un petit moment, le groupe décida de descendre et proposa de nous guider dans cet excitant périple, nous acceptâmes soulagés ; nous avions en effet peur de nous retrouver seuls en bas, de nous perdre dans ces 300 km que représentent ces carrières.
Nous descendîmes les uns après les autres, lorsque ce fut mon tour, je pris mon courage à deux mains, je respire profondément et je me lance. En passant, mon débardeur s’accrocha à la pierre froide, laissant entrevoir mon vendre légèrement bronzé par l’après-midi que nous avions passée Paul et moi au jardin des Tuileries. Je sentis certains regards s’attarder sur mon corps, cela me fit rougir alors je m’empressai de passer la chatière pour pouvoir me rhabiller. J’atterris dans une galerie étroite et basse de plafond, comme je m’y attendais il n’y avait pas de lumière, heureusement le groupe avait déjà allumé leurs lampes torche ce qui me permit de voir un peu le début de cet endroit qui m’avait si souvent attiré ; un rêve commençait à se réaliser pour moi, l’excitation au creux de mon estomac était à son comble.
Nous avançâmes doucement, prudemment car c’était assez glissant et avancer dans une quasi obscurité est assez difficile. L’un des hommes qui nous accompagnaient avait apporté son post de radio et une musique envoutante s’en dégageait, elle commençait à me faire tourner la tête, c’était à ce qu’il me dit une musique faite pour mettre en transe…
Après un petit moment de marche dans la bonne humeur, le groupe s’arrêta, je m’adressai à l’un d’eux :
-
Qu’est-ce qu’il y a ?
-
Nous sommes arrivés dans la première pièce.
-
Ah ? Une pièce ?
-
Oui, elle s’appel le Bélier
Nous entrâmes tous, très vite la lumière des lampes fut remplacée par celle de bougies disposées un peu partout dans la petite pièce que nous remplissions entièrement.
Curieuse, je décidais d’explorer un peu cette pièce, je découvris bientôt pourquoi elle fut baptisé ainsi : une colonne était au centre de cette pièce, un corps de femme nu était sculpté dans la pierre sur la partie haute de cette colonne, en dessous une grosse tête de bélier semblait nous observer, je remarquai aussi sur le mur, des têtes sculptées de-ci-delà, cette pièce était splendide et je remarquai aussi que des sièges étaient sculpté. Nous nous assîmes tous et la discussion repris, je n’écoutais qu’à moitié, j’étais en effet trop absorbée dans ma contemplation de la pierre éclairée à la lueur de nos bougies, l’ambiance était mystique, la lumière chaude. Cette ambiance était magique, très magnétique, très…sensuelle.
Mon exploration visuelle prit fin au moment où je vis tout le monde qui me regardait, je reviens rapidement sur terre et me mêla à la discussion, j’étais à la fois gênée et flattée par certains regards appuyés qui parcourait mon corps que je ne trouvais pourtant pas vraiment attirant. L’un de ces hommes attira rapidement mon attention, il paraissait différent, doux, romantique, sensible, il passait son temps à griffonner des choses sur un calepin, il m’intriguait. Il faisait contraste avec le reste du groupe qui entamait des blagues franchement dégoutantes, allant jusqu’à mimer certaines position du kamasutra. Je préférais penser que ce n’était pas moi qui inspirais un tel spectacle mais, malheureusement les regards qu’ils me lançaient parlaient d’eux-mêmes.
Je me rapprochai de ce mystérieux griffonneur. En m’asseyant à côté de lui, je jetais un coup d’œil à ce qu’il faisait. Je découvris un dessin… Il paru gêné, ses joue s’embrasèrent et il tenta de dissimuler le bloc qu’il tenait à la main. J’insistais pour regarder, il céda et je découvris des dessin magnifiques, des très beaux nus, des hommes, des femmes puis, en feuilletant je découvris un dessin de moi, la ressemblance était frappante, la scène dessinée était particulièrement excitante : nous étions dans cette même pièce lui et moi, seul, nous étions nu, il était assit et je le chevauchais, ses bras puissant enserraient mon corps d’apparence fragile, le dessin faisait parfaitement ressortir le galbe de mes seins, la courbure douce de mes hanches ; sa main passait dans ma chevelure, on pouvait clairement lire dans les yeux de ces deux personnages du plaisir, un plaisir intense. La vue de ce dessin provoqua en moi une sensation que je n’aurais pas imaginé, je sentis des frissons parcourir mon corps. Sentir le souffle de cette homme sur mon cou alors qu’il regardait son œuvre par dessus mon épaule mit le feu au bas de mon ventre, ces frissons me firent rougir, j’espérais que personne ne remarquerais mon désir qui commençait à naître. Lorsque sa main effleura mon bras au moment où il voulu récupérer son cahier, je senti que ma culotte commençait imperceptiblement à se mouiller, j’avais envi de cette homme, cette sensation me chamboula, j’avais déjà désiré un garçon, j’avais déjà eu un peu d’expérience dans le domaine sexuel mais jamais je n’avais désiré un inconnu, ni un homme ayant plus de 10 ans de plus que moi. Je tentais donc d’éviter son regard pour qu’il ne se doute pas de ce qui se produisait en moi mais, ce fut trop tard, il avait surpris mon trouble, mon regard.
Il s’approcha de moi, passa sa main dans mes cheveux et doucement ses lèvres vinrent effleurer les miennes, sa bouche était douce et ferme à la fois, ce baiser ne dura pas plus de quelques secondes mais pour moi, le temps resta en suspend, je ne m’occupais plus des autres qui devaient nous regarder, plus rien d’autre ne comptait pour moi que cette instant, ses lèvres contres les miennes. Il cessa de m’embrasser et baissa la tête, gêné. Je posai ma main sur sa cuisse pour lui signifiait qu’il n’y avait aucune raison d’être gêner, il me regarda, je lui souri et lui rendis son baiser, le mien était plus fougueux, passionné. Bientôt j’entrouvris ma bouche pour l’inviter à l’explorer, il ne se fit pas prier, sa langue vint à la rencontre de la mienne, elle explora ma bouche d’abord en douceur puis rapidement nos langues se lancèrent dans un combat endiablé s’entremêlant, se cherchant, se fuyant.
Cet instant était tout simplement magique, je senti mon corps devenir léger et s’envoler puis, j’eue chaud, très chaud, je sentais mon désir monter, ma culotte se mouiller et, un coup d’œil rapide au niveau de l’entrejambe de cette homme me montra qu’il n’était pas indifférent à ce qui était en train de se passer, une bosse commençait déjà à se dessiner au niveau de son pantalon…
Cet instant était tout simplement magique, je senti mon corps devenir léger et s’envoler puis, j’eue chaud, très chaud, je sentais mon désir monter, ma culotte se mouiller et, un coup d’œil rapide au niveau de l’entrejambe de cette homme me montra qu’il n’était pas indifférent à ce qui était en train de se passer, une bosse commençait déjà à se dessiner au niveau de son pantalon…
Nous fûmes interrompus dans cet instant par le reste du groupe qui entreprit de faire une nuit étoilée :
-
Tout le monde éteint les bougies on va faire une nuit étoilée pour nos amis les touristes
-
Génial, une nuit étoilée !!!
Paul :
-
C’est quoi ?
-
C’est superbe ! En fait, faut être dans le noir total et on casse un tube de liquide fluorescent que l’on repend un peu partout…Tu va voir…
Nous nous exécutâmes donc, on nous prévient aussi qu’il fallait fermer les yeux pour ne pas risquer d’en recevoir dedans car c’est toxique et au contact des yeux ça fait mal. Je me cache les yeux et après un petit moment on nous annonce que l’on peur les rouvrir ce que je fis sans attendre d’avantage. Le spectacle était époustouflant on aurait dit des milliers de lucioles, la pièce était couverte de petites tâches vertes fluo. Ce spectacle me laissa sans voix.
Nous décidâmes de reprendre notre route car nous avions encore beaucoup de choses à explorer. La marche repris toujours en musique et dans la bonne humeur. Personne n’évoquait mon baiser échanger avec cet inconnu. J’étais silencieuse, j’écoutais la discussion qui allait bon train n’en prenant pas vraiment part, mes pensées étaient ailleurs, perdu dans les méandres du désir…Je m’imaginais vivre la scène du dessin, j’imaginais le plaisir que pourrais me procurer son sexe dur, ses mains sur ma peau nue, cette langue qui m’avais fait tourner la tête un peu plus tôt.
J’étais tellement dans mes pensées que j’ai presque perdu le groupe, c’est Paul qui m’attrapa par la main pour me faire revenir sur Terre. Nous dûmes courir un peu pour rattr a p e r le reste du groupe qui avançait cette fois à vive allure étant donné que le sol était sec et la galerie plutôt spacieuse. J’avais un peu de mal à les suivre. Etant donné les variations de hauteur de plafond, à chaque fois que le plafond devenait bas par galanterie l’homme de tête me prévenait ce qui m’évitait de m’assommer.
Nous passâmes près d’une salle appelé « La Plage » car son sol est tapissé de sable, il y avait beaucoup de monde et de la musique forte. Une fille à l’entrée nous annonça qu’il se déroulait un anniversaire et que l’on pouvait y aller si l’envie nous en prenait. Nous décidâmes d’aller y jeter un œil ne serait-ce que pour voir à quoi ressemblait cette salle. Elle était vaste, très éclairée (des personnes avaient emmené des lampes qu’ils avaient posé au sol), l’ambiance était bonne mais je n’eue pas envie de m’attarder alors nous passâmes notre route.
Les salles s’enchaînaient « La Chaumière », « Le Sarcophage », « La salle du château », la salle « Z »,etc…elles étaient toutes plus belles les unes que les autres mais nous décidâmes de nous arrêter à la fin d’une galerie spacieuse. Les bougies remplacèrent les lampes et, la bière coula à flot, l’air était lui parfumer d’un mélange de cire en train de fondre et de joins. Je passais vraiment une soirée magique. Lorsque mon regard se promena sur nos nouveaux amis je ne vis pas l’homme qui dessinait. Etonné je questionnai les autres :
-
Où est votre amis, celui qui dessine ?
-
Il nous à laissé à a hauteur de La Plage, il devait rejoindre quelqu’un…
-
Ah ? Il a quelqu’un ?
-
Je ne sais pas, je pense vu les regards qu’il nous a lancé en s’éloignant…
Je senti une v i o l ente douleur à l’estomac. Je me sentais trahi, idiote.
Nous reprîmes notre route, mon désir laissa place à la tristesse, un homme du groupe voyant mon expression me glissa à l’oreille, de façon à ce que personne n’entende :
- Je suis là moi ma belle…
Il était pas mal, grand, d’allure sportive, blond, les yeux d’un vert profond mais, il ne m’intéressait pas. Cependant, grâce à lui j’appris que l’homme que j’avais embrassé s’appel Fabien. Fabien, ce prénom résonnait en moi d’une manière inattendue, il me faisait tressaillir, ce qui me donnait le sentiment d’être encore plus idiote.
Nous arrivâmes dans une galerie inondé, le groupe passait en posant le pied de chaque côté sur les proies humide, je fis de même mais mon pied glissa et je me retrouvai dans l’eau, j’avais de l’eau jusqu’à la taille, mon jean me collait à la peau, la sensation n’était pas désagréable conte-tenu de la chaleur tropical qui régnait dans les carrières. En continuant d’avancer, je senti une main m’empoigner avec fermeté les fesses, ca me surpris mais la sensation était des plus agréable. En me retournant je vie qu’il s’agissait le l’homme blond que j’avais gentiment repoussé peu avant. Il se montrait de plus en plus entreprenant me caressant le dos, les cheveux. Il me f o r ç a à m’arrêter, me colla contre la paroi froide et humide de cette galerie. Un coup d’œil vers l’avant me fit voir que le groupe continuait, je voyais les lumières s’éloigner nous laissant tous les deux seul dans le noir.
Je me sentais bien, j’avais peur et en même temps j’anticipais ce qui allait se passait, ces pensées firent revenir le désir au creux de mon estomac. Daniel m’embrassa fougueusement, je sentais déjà son sexe dur contre mon ventre, il déposait de petits bisous doux le long de mon coup pendant que ses mains commençaient à effleurer mes seins à travers mon débardeur. J’étais de plus en plus excité et la musique de transe me revient, je me sentais légère, capable de tout, ma gêne s’était évaporé avec les dernier signe de lumière au fond de la galerie, j’étais comme possédé par un animal sauvage, je prenais part activement à ce qui était en train de se dérouler. Je commençais à caresser le dos de Daniel, lui ôta son tee-shirt et je commençai à embrasser son torse doux, je lui titillai les tétons avec ma langue pendant que lui continuait l’exploration de mon corps, il arriva à mon entre-jambe qu’il caressa à travers mon jean. Puis, il remonta, déboutonna mon jean pour pouvoir y passer la main, il atteint rapidement ma culotte trempée et me glissa à l’oreille « elle est trempé, tu es très excité, j’adore ça » puis il m’embrassa. Je continuais fiévreusement à découvrir son corps musclé, je lui massai les fesses, je sentais son sexe de plus en plus dur contre moi ce qui m’excitait d’avantage encore. J’entrepris de caresser son engin droit comme un I je commençais des caresses à travers son pantalon et rapidement je lui ouvrai pour accéder plus facilement à cet objet de désir.
Nous nous retrouvâmes bientôt nu face à face. J’appréhendais un peu ce qui allait se passer alors je retardai ce moment fatidique en continuant de le caresser, il comprit et me caressa à son tour. Ses mains venaient explorer mon intimité mouillée, ses doigts jouaient avec mon clitoris déjà dur puis me pénétraient dans des va-et-vient divins, je ne pouvais retenir quelques gémissements sous de telles caresses. Sa bouche entrepris de titiller mes tétons qui se durcissaient sous sa langues, ses caresses étaient à la fois assurées, douces et terriblement excitantes. Pendant ce temps je pris son sexe dans ma mains et j’entamai des mouvements de vas et vient qui devinrent de plus en plus rapide au fur et à mesure que mon envie de lui se faisait ressentir au bas de mon ventre.
Bientôt, je me sentais prête, plus rien ne me retenais alors je lui murmurai « prends-moi ». Je n’eue pas besoin de le répéter. Il me souleva pour m’asseoir dans un renfoncement du mur et bientôt je sentais son sexe dur comme jamais me prendre. Il entra doucement en moi mais, il n’entra pas profondément. Il s’arrêta et me demandât « ça va ? Je ne te fais pas mal ? » je l’embrassai et l’entourais de mes jambes le f o r ç a nt à s’approcher d’avantage me pénétrant plus profondément. Il comprit alors qu’il pouvait commencer. Il entama des va-et-vient doux au départ puis plus rapide, ses coups de reins devenaient de plus en plus v i o l ents. Je sentais sont sexe entièrement en moi, cette sensation me fit une sorte de décharge électrique, j’aimais le sentir dans mon intimité. Daniel accompagné ses mouvements de baiser enflammés, et à chaque nouveau coup de rein je sentais tout mon corps bouger, nous étions accordé, mon bassin ondulait au rythme de ses assauts et bientôt je ne pu retenir des gémissements de plaisir ce qui avait pour effet de rendre Daniel plus fougueux encore. Ma respiration s’accélérait, j’avais chaud, c’était bon, je gémissais de plaisir puis l’orgasme me prit soudain. Peu après, Daniel poussa un râle avant de rependre sa semence chaude en moi. Il resta ensuite quelques instants en moi tentant de reprendre sa respiration. Je sentais en moi tous mes muscles détendu, j’étais bien.
Nous nous rhabillâmes en silence puis nous reprîmes notre route sans échanger de parole. J’étais de nouveau gêné et à la fois un peu honteuse de ce qui venait de se produire mais je ne regrettais rien…
Nous nous rhabillâmes en silence puis nous reprîmes notre route sans échanger de parole. J’étais de nouveau gêné et à la fois un peu honteuse de ce qui venait de se produire mais je ne regrattais rien…
Nous marchâmes en silences pendant un moment qui pour moi dura une éternité…Bientôt au bout d’une galerie que nous venions d’emprunter nous vîmes une lumière v i o l ente…Daniel s’arrêta et me f o r ç a à m’arrêter…Nous écoutâmes quelques instant les bruits qui accompagnaient la lumière. Daniel eu un sursaut et me glissa à l’oreille que c’était la police, qu’il ne fallait pas rester ici puis, tout se passa très vite sans que j’ai le temps de réaliser ce qui se produisait. Il prit ma main, m’entraina dans le dédale de galeries, nous les passions une à une à toute vitesse, je ne parvenais pas à voir certains écriteaux au mur qui signalait le noms des grands boulevards sous lesquels nous nous trouvions, j’étais perdu alors je m’accrochais du mieux que je pouvais à la main de Daniel.
Bientôt ma main était vide, je ne sentais plus la présence de Daniel près de moi, j’avais peur… Il me restait une bougie dans ma poche, je l’allumai et constatai avec horreur que j’étais bel et bien seul au milieu de ce qui pour moi était nulle part. Je tentais d’appeler mais ma voix se perdait dans l’obscurité ambiante. Les catacombes devinrent soudain pour moi un lieu hostile, inquiétant, glaciale. J’avais peur, des larmes commençaient à mouiller mes joues. Je marchais seule, tentant de retrouver mon chemin ou du moins tentant de croiser quelqu’un pour être guidé.
Personne…Je tentais une manœuvre désespérée en sortant mon portable, pas de réseau, normal à 50 m ou plus sous terre…Je continuais d’avancer ne sachant trop où mes pas me conduisaient puis, épuisé je décidai de m’asseoir quelques instant dans un renfoncement. Je revoyais la soirée passer devant mes yeux, je me sentais idiote, nulle, je fondai en larme réellement cette fois et me remémorant une histoire que le groupe avait raconté avant de descendre « il y a pas mal de temps un homme s’était perdu dans les catacombes et il ne parvient pas à retrouver la sortie, il fût retrouvé 10 ans plus tard m o r t et on l’enterra à l’endroit où sa dépouille fût retrouvé » cette pensé me fit frémir.
Je tentai de reprendre mes esprit quand je senti une présence, quelque chose de chaud, de doux et de rassurant autour de moi, je tendais ma bougie à bout de bras pour voir si quelqu’un était là mais personne… Cette présence m’invitait à lui faire confiance et à me blottir en elle. Après quelques hésitations je décidais de suivre cette « f o r c e » et repris ma route vers la galerie qu’elle m’indiquait par sa chaleur. Un long moment de marche passa quand un coup de vent bref éteint ma bougie. J’étais désormais dans le noir total. La peur me revient, je tentais de rallumer ma bougie : impossible, la mèche ne voulait pas prendre…Je décidais donc après plusieurs tentatives infructueuses de poursuivre la route « à l’aveuglette » en tâtonnant les parois de la galerie. Elles étaient chaude, douce, comme parcourues de f o r c e s invisibles, elles semblaient vivante, mouvante, comme si elles m’accompagnaient dans mon périple. Ce qui d’ordinaire m’aurait effrayé là me donner le courage de continuer à avancer et la confiance qu’elles m’emmenaient là où je devais aller.
Je perçu au bout de la galerie une lumière comme dansante, elle n’était qu’une sorte d’étincelle mais pour moi elle signifiait la libération, l’espoir, je décidai de m’en approcher d’avantage. En arrivant près d’elle je découvrir qu’il s’agissait d’une simple bougie. Elle marquait l’emplacement d’une chatière. Je me faufilai tant bien que mal dedans et découvris de l’autre côté une salle. Elle n’avait rien de comparable à celles que j’avais vu avant. Elle était de taille moyenne, quelques grosses colonnes en traçaient les contours, pas de sièges, pas de dessins au mur, elle paraissait vierge de toute présence humaine mis à part les bougies disposée ça et là qui diffusaient une lumière douce, la rendant plus accueillante.
Je décidais d’explorer cette salle mystérieuse et y découvris quelques recoins. En promenant ma main sur la pierre je la sentais presque vivante, des vibrations la parcouraient comme les battements d’un cœur imaginaire. La peur avait disparu de mon estomac laissant place à l’émerveillement et la curiosité.
Un bruit derrière moi me fit sursauter. En me retournant je découvris Fabien. Il était debout à l’entrée de la pièce et me regardait de haut en bas. Son regard était pénétrant ; ça me fit frémir. Une tonne de questions se bousculaient dans ma tête à ce moment mais il commença :
-
J’ai cru que tu ne trouverais pas.
-
Quoi ???
-
Je t’attends ici depuis que je vous ai quitté tout à l’heure.
-
Ah ? Et comment savais-tu que j’atterrirais ici ?
-
Je le sentais, j’ai fais confiance à la f o r c e qui règne dans les carrières
-
La f o r c e ?
-
Oui, tu n’as pas senti cette chaleur, cette douceur ? Et les parois des catacombes qui semblent vivantes, mouvantes.
-
Tu l’a senti aussi ?
-
Oui, ça fait longtemps que je viens ici, je descend seul en général et, au fur et à mesure de mes descentes nous nous sommes apprivoisé cette f o r c e et moi, je lui ai montré que je ne venais pas la détruire mais qu’elle m’intriguait et, elle me permit d’aller là où personne n’est encore allé, elle m’a permit de découvrir l’essentiel, de me connecter avec l’être que je suis en réalité.
-
J’ai peur de ne pas comprendre…
-
Je suis un homme des catacombes, toute ma vie j’ai cherché des réponses à des questions que je n’arrivais même pas à formuler, j’ai passé mon temps à fuir quelque chose que je ne voyais pas mais que je sentais en moi et ici j’ai pu trouver les réponses et apprivoiser ce qui avant me faisait peur.
-
Pourquoi me dire tout ça ?
-
Parce que je pense que tu peux accepter ce que je te dis sans me rejeter et j’ai senti que tu es comme moi…
-
Ah ? Heu…je ne comprends pas…
-
Tu es en quelque sorte issue de ce lieu magique. Tu as senti cette f o r c e c’est quel est en toi, elle ne se « montre » qu’aux personnes qui lui sont familières…
-
Il y a erreur, c’est ma première décante, je ne connais pas les carrières.
-
Alors comment es-tu arrivé jusqu’ici, alors que personne n’est encore venu dans cette partie des catacombes ? Tu vois bien qu’à part les bougies que j’ai mises ici, cette pièce est vide de présence humaine.
Cette affirmation si juste me laissa sans voix…
-
Je ne sais pas, sans doute la chance.
-
Nan dit-il en rigolant.
Il s’approcha de moi doucement en guettant ma réaction. Je ne bougeai pas alors il se rapprocha d’avantage. Il me prit dans ses bras et je senti une sorte de lien très puissant nous unir. Je me sentais bien, les paroles étaient inutiles car c’était l’évidence même.
Nous nous assîmes cote à cote à même le sol et nous restâmes un long moment à discuter. Je sentais quelque chose de nouveau couler dans mes veines, comme une impression d’avoir trouvé ce quelque chose inexplicable qui m’avait toujours manqué.
Il faisait chaud, s’était bon, j’étais bien, en sécurité. Fabien posa sa main sur ma cuisse et commença à me caresser la cuisse doucement à travers mon jean. Des frissons me parcoururent le dos, le désir revient. Nous nous regardâmes et naturellement nos lèvres vinrent s’effleurer puis se frotter doucement. Il caressa mon visage, comme pour prendre son empreinte, puis m’embrasa de nouveau. Ce baiser était plus assuré, plus évident. J’entrouvrais mes lèvres pour l’inviter à y entrer. Bientôt sa langue rejoint la mienne. Elles commencèrent par se fuir puis se lancèrent dans un corps à corps animal jusqu’à ce qu’enfin elles s’apprivoisent et qu’elles se frôlent, s’enroulent. Je sentais déjà le feu du désir me consumer de l’intérieur. Ce baiser me renversa, j’étais chamboulé, je ne comprenais pas comment un homme pouvait me faire autant d’effet par un simple baiser. Je me décidai à explorer ce corps qui me faisait tellement envie. Je commençai par passer ma main sans ses cheveux courts, il était doux, comme je les imaginais, noire de geai.
Je quittais avec un peu de regrets sa bouche pour déposer sur chaque centimètre de son visage un baiser doux puis je descendis le long de son cou qu’il m’offrait déposant de-ci delà de petits bisous qui le firent frémir j’accompagnais bientôt mes baisers de léchouilles tendres. Rapidement j’arrivai à son oreille, la plus belle que j’avais vue, elle était parfaite, le lobe bien dessiné j’y déposais d’abord un bisou puis rapidement j’entrepris de la lécher doucement et d’en mordiller le lobe. Je reviens ensuite l’embrasser avec plaisir.
Ses mains commencèrent à explorer mon corps brûlant de désir. Il passa ses mains sur le tissu fin de mon débardeur, je sentais mes tétons se durcir déjà sous ses caresses. Nous prîmes tout notre temps pour d’abord explorer nos corps, les apprendre.
Fabien se leva. Il me regardait. Je ne comprenais pas, j’avais encore envie de sa bouche, se ses caresses et je voyais son désir naître déjà au niveau de son entrejambe. Je le rejoins, il me prit dans ses bras et m’embrassa de nouveau. L’intensité de se baiser me fit présager le plaisir que j’allais prendre avec lui. Ses mains descendirent le long de mon dos pour s’arrêter sur mes fesses qu’il massa doucement puis plus sauvagement.
J’entrepris de lui ôter sa chemise, je la déboutonnai puis, une fois à ses pied j’admirai un instant son torse luisant pas la chaleur ambiante. Je le caressai puis, lui ôta son jean et son boxer. Il était nu à présent. Je pris un instant pour contempler cet homme si beau. Son sexe était déjà totalement en érection, ce qui attisa un peu plus mon désir que je sentais déjà se répandre à mon entrejambe.
Il enleva mon débardeur, et le reste de mes vêtements avec douceur déposant à chaque nouveau vêtement à terre une caresse. Lorsque je fis nue devant lui il me regarda avec gourmandise et émerveillement, il détaillait chaque courbe de mon corps au point que mes joues s’embrasèrent. Il m’attira contre lui et je sentais nos cœur battre à l’unisson.
Il m’allongea au sol et entrepris de me procurer du plaisir en déposant de petits bisous le long d mon coup jusqu’à arriver à ma poitrine qu’il commença à masser doucement puis il y déposa des baisers de plus en plus appuyé jusqu’à arriver à cette zone sensible que sont mes tétons, il les lécha avec vigueur, les suça, les mordilla doucement, ses caresses me firent tourner la tête, j’étais bien et là je senti ses mains descendre doucement sur mon ventre jusqu’à arriver à mon intimité trempée. Il promena ses doigts sur mes grandes lèvres puis, doucement les écarta pour atteindre mon petit bouton de plaisir qu’il titilla avec tendresse et fougue, il fit de petit mouvement circulaire dessus, appuya, le titilla si bien qu’il commençait à se gorger de s a n g et à durcir sous les assauts de ses doigts qui déjà disparaissaient dans mon intimité entament des va-et-vient des plus agréables qui me faisaient frissonner de plaisir, je sentais déjà le plaisir s’emparer de moi…Bientôt je sentais sa langue jouer avec mon clitoris pendant que ses doigts continuaient de s’emparer de mon intimité. Il explora chaque parcelle de mon sexe avec sa langue variant l’intensité de ses mouvements, se faisant plus appuyé sur mon clitoris, plus doux sur mes lèvres qui glissaient sous sa langue. Je sentais malgré moi mon bassin ondulé au rythme de ses caresses fabuleuses. Le plaisir montait de plus en plus, je gémissais de plaisir puis, ce fut l’explosion en moi, je ne pus retenir des cris de plaisir qui résonnèrent dans la salle vide.
Il revient m’embrasser, sa langue avait un goût salé qui m’excita encore un peu plus. J’entrepris de lui donner autant de plaisir qu’il m’en avait procuré. Parcourant son corps d’abord avec mes mains pour me familiariser avec ses réactions, je commençais par effleurer sa peau sans vraiment oser toucher à cette douceur que je pouvais déjà imaginer puis, je me décidais à le caresser vraiment tout en l’embrassant.
Je commençai à effleurer ses tétons qui durcirent sous mes doigts puis je lui léchai doucement et ensuite plus vite à tel point que je sentais déjà son corps trembler sous l’effet du désir. Je déposai de petites léchouilles vigoureuses sur son torse musclé puis sur son ventre que je voyais trembler par sa respiration saccadé. J’arrivai bientôt à sa toison que je caressai doucement sentant sous mes doigts la dureté de la base de son sexe. Je m’intéressais donc plus précisément à cet objet de désir. Je le pris dans ma main et commençais des va-et-vient de plus en plus rapide en admirant la beauté de son sexe fièrement dressé. Ne pouvant retenir mon envie de le goûter je succombais avec plaisir à l’appel de ma langue qui se promena d’abord le long de son pénis puis je m’attardai un peu sur son gland que je léchai avec attention, enroulant ma langue autour de lui pendant que ma main elle avait repris son va-et-vient effrénés, je passais ma langue sur son gland rose puis pris son sexe en pleine bouche. A ce moment Fabien ne put retenir un soupir de bien-être ce qui m’encouragea à commencer des mouvements pendant que lui me caressait les cheveux, passant sa main dedans ou tout simplement profitant de leur douceur. Une fois que mon rythme fut trouvé je m’intéressai à ses testicules que je pris dans ma main, les massant doucement en guettant la réaction de mon futur amant, le voyant les yeux clos de plaisir je décidai de gouter à ses bourses abandonnant son sexe que je confiai au va-et-vient assuré de ma main. Je pris l’une de ses testicule dans ma bouche et la suça doucement. Bientôt j’alternais entre léchouilles appuyées sur son gland, va-et-vient avec son sexe entièrement dans ma bouche et léchouilles sur ses testicules. Fabien gémissait de plaisir.
J’arrêtai avec regret mon exploration buccal pour revenir l’embrasser. Nos baisers étaient maintenant fougueux, passionnés et terriblement excitant. Je sentais déjà mon nectar couler le long de ma cuisse. Je plongeai mon regard dans ses yeux bleu lagon pour lui signifier que j’étais prête à le recevoir en moi. Il comprit mon message et s’installa sur moi sans m’écraser par son poids et bientôt je sentais enfin son sexe entrer dans mon intimité. Ce contact provoqua une légère décharge électrique au creux de mon ventre. Il entama des mouvements de va-et-vient tout en m’embrassant tandis que moi je lui caressais les fesses, le torse et toutes les parties de son corps que je pouvais atteindre.
Fabien me prenait comme on ne m’avait jamais prise, ses coups de reins étaient à la fois puissants, assurés, doux et énergique. Très vite je senti le plaisir m’assaillir pendant que sa respiration se faisait plus saccadé encore. Je sentais nos cœur battre à l’unissons, nous ne faisions plus qu’un, ce moment était magique, je me sentais flotter sur un petit nuage nommé plaisir. Ses coups de reins de firent de plus en plus brutaux accompagnés par les ondulations de mon bassin que je ne pouvais retenir, je sentais son sexe dur en moi, c’était bon, je sentais les muscle de mon intimité se sérer autour de son sexe comme pour l’empêcher de s’échapper. Il touchait jusqu’au plus profond de mon intimité.
Le plaisir montait de plus en plus jusqu’à atteindre son point de non retour, je senti une v i o l ente explosion en moi, mon corps tremblait ma respiration était aletante. Je pouvais lire dans les yeux de Fabien le même plaisir qui me submergeait, il tremblait. Nous poussâmes un cri puissant d’une seule et même voix et enfin je le senti se répandre en moi. Il resta un moment ainsi, épuisé par ses ébats puis vient s’allonger à côté de moi.
Je me blottis dans ses bras qu’il referma autour de mon corps encore tremblant du plaisir que je venais de ressentir. Il m’avait fait l’amour comme si sa vie en dépendait, d’une façon que je n’avais jamais connu, ce fut pour moi comme une seconde première fois.
Nous restâmes ainsi un moment, incapable de parler après un tel moment d’intense plaisir puis, la conversation commença d’elle-même. Il enfoui son visage au creux de mon cou et inspira un maximum pour s’imprégner de mon odeur puis il murmura à mon oreille : « Je t’aime Gabrielle » ces paroles me firent tressaillirent. Je ne pu que lui répondre que je l’aime aussi, que je l’ai su dès la première fois où je l’avais vu, que j’avais senti ce quelque chose brûler dans mon estomac.
Nous étions toujours nu, dans les bras l’un de l’autre parlant comme si nous nous étions toujours connu. Il m’apprit que les carrières lui avaient soufflé mon prénom, qu’il m’avait attendu toute sa vie et qu’il m’avait désiré dès notre premier regard. J’étais bien, plus rien d’autre ne comptait à cet instant que ses paroles si douces à mon oreille, son corps contre le mien et cette nudité qui nous semblais évidente, naturelle.
Nous passâmes une nuit de plaisir partagé et lorsque le petit matin arriva nous nous endormîmes épuisé dans les bras l’un de l’autre riche du plus beau des cadeaux : l’amour…
The48km
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